cette destinée, la vraie, commence pour l'homme à la première marche de l'intérieur du tombeau, alors il lui apparaît quelque chose, et il commence à distinguer le définitif : le définitif, songez à ce mot. Les vivants voient l'infini ; le définitif ne se laisse voir qu'aux morts. En attendant, aimez et souffrez, espérez et contemplez. Malheur, hélas ! à qui n'aura aimé que des corps, des formes, des apparences ! La mort lui ôtera tout : tâchez d'aimer des âmes, vous les retrouverez.