Dans le port d'AmsterdamY a des marins qui mangentSur des nappes trop blanchesDes poissons ruisselantsIls vous montrent des dentsA croquer la fortuneA décroisser la luneA bouffer des haubansEt ça sent la morueJusque dans le coeur des fritesQue leurs grosses mains invitentA revenir en plusPuis se lèvent en riantDans un bruit de tempêteReferment leur braguetteEt sortent en rotant